Qu’elles viennent nourrir les fleurs.
Des mots d’amour qu’on s’était dits.
Tu crois aux fantômes ? Tu crois aux fantômes ?
Parce qu’il y a des trains qui ne reviennent pas.
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Ici, Éva Bergera a mixé l’une de ses anciennes peinture (I can hear the sounds of violins long before it begins) avec le portrait-robot d’une criminelle trouvé sur un site Canadien pour recréer un nouveau visage, aux couleurs pop. « Rien ne se perd, tout ce transforme » dit-on,1



