C’est la fureur d’aimer.
Éva Bergera s'est inspirée d’anciennes cartes de catéchisme. Ici, c’est une relation bancale, un jeu sans règles qui se déploie entre un homme et une femme, avec une idée de refrain, de rengaine, d’un vas et viens perpétuel. On oscille entre une déclaration amoureuse de midinette et une scène de théâtre grossière.
Roland Barthes a dit :
« Dans la vie amoureuse, le tissu des incidents est d’une incroyable futilité, et cette1



